Photo du mois de septembre 2015 – Passions


Hors participation – Thème : Passions, choisi par :

Ma Passion Bento
Qui ajoute ceci :

Je suis ravie pour mes 3 ans de participation de vous proposer une citation de Saint Augustin : « Celui qui se perd dans sa passion perd moins que celui qui perd sa passion. » Je vous propose donc de prendre en photo ce qui vous passionne le plus dans votre vie. Un thème qui  je l’espère vous inspirera et sera haut en couleur et en bonne humeur !)

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Difficile de choisir parmi tous les livres dans l’appartement ma première passion
La nature, les fleurs, les voyages.

j’ai donc choisi cette photo qui représente celle de la découverte via la photographie d’une ville comme Terrasson-Lavilledieu en Dordogne,  celle-ci, vue de l’intérieur. Succession de nombreux escaliers et de découvertes d’autres immeubles pour aboutir tout en haut de la ville à l’église abbatiale Saint-Sour, voir plus bas. La vue de la haut est très belle sur la région qui se rapproche de plus en plus de la frontière de la Corrèze et nous dirigeant vers la frontière avec l’Auvergne pour y dormir en chambre d’hôte. Nous avions divisé notre voyage en deux fois, destination Boersch en Alsace, et ceci pour la quatrième fois en onze ans, en ce qui me concerne.

Ma passion pour cette photo, les voyages et surtout l’architecture, vue au-travers des siècles, de ce qu’il en reste aujourd’hui restaurée ou pas.  J’ai fait une autre photo de ce que l’on peut apercevoir sur la gauche, et qui est un auvent que j’ai trouvé très beau. La couleur de la pierre du bâtiment de gauche rappelle encore celle de Bordeaux. Cette ville est traversée par un affluent de la Dordogne, la Vézère.  Sur ces bords, se trouve un magnifique pont.

Centre important du commerce de la truffe et des noix, Terrasson-Lavilledieu compte plus de 6 000 habitants, et son
agglomération, 8 000.
Située en limite de la Corrèze, elle incarne la porte d’entrée dans le Périgord noir.

Elle est notamment connue pour ses Jardins de l’Imaginaire, sa vieille ville et son église Saint-Sour.
En arrivant à Terrasson, proche de la Corrèze et du Lot, on entre dans le Périgord noir.
Au haut Moyen Âge, à la fin du VIe siècle, il semblerait qu’un monastère lié au personnage de saint Sour s’établisse. L’origine légendaire du patronyme de la ville viendrait de cette fondation. On aurait lâché deux colombes en décidant de bâtir un monastère là où elles se poseraient ; quand elles se sont posées on aurait dit : Terra sunt « elles sont à terre » d’où le nom de la ville.
Source : Wiki

Nous nous sommes arrêtés dans cette ville un peu par hasard et nous n’avons pas regrettés. Toute en terrasses, les escaliers nous mènent vers :

Église abbatiale Saint-Sour datant du XVe siècle, restaurée par l’abbé Jean-Baptiste Chevalt au XIXe siècle. Saint Sour (Sorus) a créé un monastère au VIe siècle à la limite du Périgord et du Limousin, sur le site de Genouillac, au bord de la Vézère. L’abbaye, réformée aux IXe et XIe siècles, a alors été transférée dans le castrum de Terrasson, situé à proximité. L’église a été construite au Xe siècle, et les clés de voûte portent les armes de la famille de Rouffignac qui a donné deux abbés de 1491 à 1512 et de 1514 à 1520. L’église a été commencée par Bertrand de Rouffignac (1491-1505) et terminée par Bertrand de la Faye (1520-1540). En 1569, les guerres de religion ont entraîné des destructions d’une partie de l’église. Celle-ci a été restaurée en 1889, en particulier la nef qui a été voûtée et mise au même niveau que le chœur. Après une inscription partielle pour son portail occidental en 1952, l’église est inscrite en totalité au titre des monuments historiques en 2001.
Source : Wiki

Cela ne se voit pas sur la photo, la région est verte, et oui le Périgord, une très belle région, dont j’aimerais tant encore pouvoir découvrir d’autres région. Cette photo pourrai rejoindre aussi un vieux thème choisi : escaliers 🙂
J’aurais aimé visiter Sarlat, mais nous étions attendus et devions encore faire de la route le premier jour de déplacement.

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Quelques nouvelles en ce 15 septembre 2015


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Voici un bon moment que je souhaitais vous donner des nouvelles et ceci depuis le début du mois d’août où suite au lumbago, celui-ci s’est transformé en sciatique et après une IRM 1e 11 août dernier, il a été diagnostiqué une hernie discale. Rendez-vous fut pris auprès d’un médecin spécialiste pour le début du mois de septembre, le trois, où je me suis rendue. La secrétaire ne m’avais pas signalé par téléphone que les consultations avaient été décentralisées. Comme quoi la communication elle, passe de manière bizarre. Après ce R.V manqué comme mon médecin traitant avait encore ses consultations libres, j’y suis allé et à ce moment là, il était aussi positif que moi, comme je me sentais mieux, j’allais, mieux, même si les doigts de pieds sont toujours en l’état, je peux mieux marcher, mais pas des plombes en faisant les courses, c’est tout. Je n’ai plus mal à la cheville. L’avenir pour le prochain rendez-vous sois le 21 de ce mois se présentait sous de bons auspices.

Je suis donc revenue un peu plus souvent sur les blogs, et puis là depuis deux jours et même un peu plus, les douleurs de la sciatique reviennent.
Conclusion, je suis allongée à nouveau depuis deux jours, d’où le manque de réponses aux derniers commentaires. J’en suis profondément désolée.

L’article qui sortira à midi pour la photo du mois était programmée. Celui-ci est hors concours, car je ne puis pas rendre visite aux blogueurs.

Et cerise sur le gâteau, c’est sans compter sur la vie réelle en-dehors de ces problèmes de santé bien minimes à côté d’autres qui sont plus graves je le sais. Heureusement que j’ai mes projets dans la tête qui me tiennent la tête hors de l’eau. Alors je construis dans ma tête, et avec une tablette je puis faire des recherches. Les anti-inflammatoires me font dormir. J’évite le calmant, mais là depuis ce matin, j’ai mal et je devrai en prendre.

J’ai donc hâte d’autre le 21 septembre prochain et redoute tout de même une opération alors que cette perspective semblait ne pas se présenter d’après mon médecin traitant. Bon on verra bien !

Ce matin j’avais pris un RV chez un acupuncture, je sais que cela fait de l’effet mais ne guérit pas. Le papa de ma fille qui a eu en son temps une triple hernie discale très très grave, avait eu recours à cette médecine, son papa, soit le grand-père aussi et ma maman pour ses problèmes de dos aussi, et avec beaucoup de succès. Surtout maman.

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Plein de bisous, je me repose aujourd’hui.

Bon à savoir…


Effectivement bon à savoir sur la nocivité de certaines fleurs si proches de nous.

Bruxelles, Bruxellez, Bruxellons....

Les plantes ne sont pas de petites choses sans défense. Certaines ont des épines et d’autres ont encore trouvé mieux. Quelques-unes sont même capables de tuer.

Les plantes ne sont pas que décoratives. Elles peuvent aussi être mortelles si on les touche. Méfiez-vous de celles citées ci-dessous.

Les plantes les plus vénéneuses au monde

© Thinstock

Commençons par une fleur qu’il est possible de trouver relativement facilement en Belgique : la Berce. Toute la plante contient des substances toxiques qui sont activées par la lumière solaire et rendent la peau très sensible. Après un contact avec le suc de la berce et sous l’effet du soleil, des lésions de la peau peuvent se développer en quelques jours. Celles-ci ont l’aspect d’une brûlure qui peut être grave, voire exceptionnellement mortelle.

La Berce est donc toxique, mais il y a pire. La fleur la plus dangereuse du monde serait celle de l’acanotium. Elle serait à l’origine de…

Voir l’article original 497 mots de plus

Photos – 11-09-2015 – Fleurs à l’arrêt du bus


Comme quoi, il n’est pas nécessaire d’aller bien loin pour pouvoir photographier un parterre qui se trouve là, emménager pour enjoliver un espace d’attente 🙂

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« Chez les femmes, la petite fleur bleue a des racines de chêne. » Françoise Parturier

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« Si la vie n’est qu’un passage, sur ce passage au moins semons des fleurs. » Montaigne

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Haïku

Voici quelques fleurs
Elles nous grisent d’odeurs
Palais de couleurs.
© Geneviève

2015 – #2 Atelier d’écriture du 13-09 – 20-09-2015 minuit


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Atelier #2 – Atelier d’écriture du 13-09 – 20-09-2015 minuit.

Ateliers 2 - 13-20-09-2015

Écriture en toute liberté. Je souhaite que les personnes qui souhaitent mettre leur participation ne le fasse que dimanche prochain, ceci afin que nous puissions tous nous lire, moi y compris.

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Ateliers du 06-09-2015 – 13-09-2015 : Bruxelles – Aux Quais


Pour lire les autres participations c’est :
ICI

Assiette 06-09 - 13-09-2015

Bruxelles – Aux Quais

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Mon fils a participé manuellement à la confection des petits moulins de couleurs, ceci suite à une commande de la commune. L’illustration a été trouvée par hasard.

Illustration

Il marchait le dos courbé dans la GRISAILLE du matin blême, comme seule peut réserver la capitale Belge à l’aube des premiers jours d’automne.
La pluie fine tombait sur son manteau qu’il avait enfilé à la hâte. Un pardessus tout élimé aussi usé que ses vieilles chaussures « ras-le-bol de ces  GODASSES » pensa t-il. 

L’homme se dirigeait d’un pas décidé, à longues foulées du haut de son mètre nonante* vers cette INCONNUE avec laquelle il avait rendez-vous.
Le choix du lieu le long du canal tout au nord de la ville avait été sciemment choisi par lui.
Savoir si elle allait oser s’aventurer si tôt dans la matinée dans ce coin assez lugubre lui titillait les neurones. Georges avait préféré ne pas prendre la voiture. Il aimait particulièrement respirer les odeurs matinales qui semblaient purifier et assainir l’air dans ses poumons. Il savait qu’un peu plus tard les FLOTS des voitures de la circulation urbaine pourriraient le tout, pire qu’une cigarette allumée dont il suivrait du regard les volutes bleutées rejoindre celles qui s’évaporaient au-dessus de l’eau.

Elle s’appelait Carole. Trente-cinq ans, de taille moyenne, les yeux bleu-gris, habillée pour la circonstance d’un jean et de baskets, d’une veste noire bien chaude qu’elle ne regrettait pas de porter ce matin là. Elle attendait patiemment, assise dans une voiture citadine l’homme avec lequel elle avait rendez-vous. . Elle se sentait en totale communion avec le MILIEU de ce paysage qui l’entourait. Un sujet important, un rendez-vous à donner froid dans le dos. « Allons, se dit-elle, je ne puis pas tomber dans l’excès, un peu de nerf, ma vieille »

POURSUIVRE l’écriture de son livre parallèlement au travail d’Inspectrice au Commissariat de Ganshoren était un projet très long. L’homme qui la faisait ainsi « poireauter » faisait partie de cette enquête.  Elle espérait que ses recherches pour son bouquin aboutiraient.

Elle aperçut dans son rétroviseur une masse sombre, ILLUMINÉE, par un éclairage blafard, approcher son véhicule. Carole redressa le dos du siège conducteur, ouvrit la portière, sortit de la voiture faisant ainsi face à Georges, tout en se souvenant des propos échangés par téléphone la veille.
– Mon prénom est Georges avait-il dit, moins vous en saurez sur moi, plus vous resterez en sécurité. Ces paroles prononcées d’une voix grave, profonde et quelque peu éraillée.
– A mon tour, dit-elle, Carole Van Dries. J’écris en ce moment une fiction. Le chapitre que j’entame concerne le trafic d’organes dans le monde. Au commissariat, un de vos anciens potes, Paul Maas, m’a communiqué votre numéro. J’aurais besoin d’informations concernant ces échanges illicites et la manière d’opérer de ces personnages qui y sont impliquées. D’après lui, vous seriez le seul en ce moment de passage à Bruxelles, à pouvoir me donner quelques pistes à suivre. Je sais qu’ensuite vous partirez pour Berlin.
Cette réponse avait été dite sur un ton trop vif pensait-elle, mais tant pis qui vivra verra se dit-elle.

Carole distinguait l’homme debout face à elle. Ils s’évaluaient mutuellement. Il pouvait avoir aux environs de la cinquantaine, mal rasé, le visage pas très avenant, il allait falloir foncer.
 – Bonjour, dit Carole, d’une voix claire, un sourire mitigé au coin des lèvres. Georges ?
 – Oui, c’est cela……heu…… salut ……. Carole ?
 – Oui ! oui ! Bien entendu, répondit-elle, sûre d’elle-même. C’est Paul Maas qui m’a donné votre numéro. Un sacré personnage ajouta t-elle en souriant. Il m’a dit de vous transmettre les mots suivants : « les VIOLONS riment avec faucon ».

L’homme paru surpris, hésitant, douteux. Pouvait-il lui faire confiance ?

SUITE

© G.Ecrits 06-13-09-2015

* nonante : quatre-vingt-dix

Renoncer – citations


 Renoncer

En amour, il est plus facile de renoncer à un sentiment que de perdre une
habitude. Marcel Proust

Il ne faut jamais renoncer, mais lécher ses plaies et se redresser fièrement.
Moses Isegawa

Ce qui est le pire, au fond, ce n’est pas de renoncer à un être. On finit
toujours par trouver des raisons. C’est de renoncer à ce qu’il représente
dans une vie. Hélène Ouvrard

Nous ne savons renoncer à rien. Nous ne savons qu’échanger une chose
contre une autre. Sigmund Freud


Il y a plus de bonheur à renoncer qu’à vouloir ce qui ne se possède jamais.
France Theoret


Il n’y a qu’une route vers le bonheur c’est de renoncer aux choses qui ne
dépendent pas de notre volonté. Epictète

C’est cela le chemin difficile, incompréhensif, rebutant : renoncer à
soi-même quand on n’avait que cela à offrir. Michèle Mailhot

La seule chose à laquelle l’homme doit renoncer s’il veut atteindre la
suprême Vérité, c’est la notion de l’individualité – rien d’autre.
Swâmi Râmdâs

Le farniente est une merveilleuse occupation. Dommage qu’il faille y
renoncer pendant les vacances, l’essentiel étant alors de faire quelque
chose. Pierre Daninos.

On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années,
on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal. Les années rident la
peau ; renoncer à son idéal ride l’âme. Douglas MacArthur

Quand vous aurez reconnu que le monde est irréel et éphémère, vous
ne l’aimerez plus, votre esprit s’en détachera ; vous y renoncerez et vous
vous libérerez de tous vos désirs. Râmakrishma

Livre – Fidèle au poste – Amélie Antoine


Fidèle au poste

Note de l’éditeur :

« Mai 2013, Saint-Malo.
Chloé et Gabriel forment un couple uni. Mais tout bascule lorsque Chloé disparaît brutalement. Gabriel tente alors de continuer à vivre, et il fait la rencontre d’Emma, une photographe venue s’installer dans la ville.
Mais Chloé s’est-elle véritablement volatilisée ?
Emma est-elle vraiment celle qu’elle semble être ?
Et si la réalité n’était pas telle que le jeune veuf la voit ?

Un roman à trois voix qui ne vous emmène jamais là où vous l’attendez…

Chloé
Bien sûr, je n’ai jamais imaginé qu’on en arriverait là. Tout ce que je voulais, c’était une vie un peu au-dessus de celle des autres, un peu plus précieuse, un peu plus lumineuse. Ce n’est pas ce dont on rêve tous ?

Gabriel
Finalement, on croit connaître les autres, mais ce n’est qu’une illusion. Et on croit se connaître soi-même, alors qu’à chaque instant, selon les circonstances, selon les personnes qu’on a en face de soi, on est quelqu’un d’autre.

Emma
À un moment, la situation m’a échappé, alors que je pensais tout maîtriser. J’ai cru que l’ambition était l’unique moteur valable dans la vie, mais j’ai découvert à quel point je me trompais.

Extrait
Gabriel attend. Je l’observe, impuissante. Il est rentré à la maison à l’instant. Il appelle « Chloé ? » en bas de l’escalier, d’un ton à la fois inquiet et plein d’espoir. Je voudrais pouvoir lui répondre. À cet instant précis, je voudrais qu’il m’entende. Je chuchote « Je suis là… », mais rien ne brise le silence de notre demeure. Je répète plus fort « Je suis là ! », mais Gabriel ne réagit pas. Ma voix résonne dans le vide, comme désarticulée. J’avance la main pour caresser son visage.
Il ne sent rien, évidemment. »

Ma réponse à ce livre :

Un roman que je recommande, oui oui ! Je l’ai trouvé génial pour un livre numérique, qui a eu le prix des lecteurs livres numériques. Un prix défiant toute concurrence. Il mérite davantage d’ailleurs.

L’extrait ci-dessus au début du livre m’avait beaucoup étonnée, me demandant si je n’allais pas plonger dans le surnaturel, la vie après
la mort ?Au début, l’histoire se traîne un peu. Oh ! que quelques pages seulement. Il a perdu sa femme et essaie de survivre. Ensuite intervient une rencontre qui lui donne l’envie d’aller de l’avant.

En tant que lectrice, je me suis laissée aller à la lecture, aux suppositions, car le sujet est un peu traité comme un roman policier. Je ne finissais pas de partir en supposition concernant la mort de Chloé et je me posais bien des questions. Je me suis laissée embarquée à fond la caisse. Vers la fin du livre je suis un peu déçue d’une décision prise, c’est dire que je vis le scénario et que l’auteur(e) est vraiment subtile et intelligente.

Et puis la fin ! Et là c’est  ENORME !  La première surprise. Je me dis ça c’est vraiment bien trouvé, moderne, actuel dans notre vie de tous les jours dans ce vingt et unième siècle. Et puis j’imagine la suite et je me fais ma propre histoire, en fonction de cette surprise.

Et la fin, là, elle m’a vraiment laissée pantoise ! Oh ! quelle chute, et surtout pas du tout ce que j’aurais pu imaginer et aurais pu croire que…..bon rien à dire, rien à dévoiler. Juste un conseil, c’est vite lu, tant c’est prenant. Moi en tout cas, j’ai éclaté de rire en fermant la dernière page et en me disant : « Bravo à l’auteur, je me suis bien fait avoir ! Génial ».
Et puis 😀 😀 clap, clap, bien mérité.

© G.Ecrits.

Photo – Qu’est ce que c’est ?


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Juste pour le plaisir, je sais que vous trouverez rapidement 😉

2015 – #1 Atelier d’écriture du 06-09 – 13-09-2015 minuit


Image du Blog imagesetpassion.centerblog.net

Premier atelier d’écriture sur ce blog en mars 2013. Il y en a eu que très peu. J’ai décidé d’essayer de recommencer. Si le coeur vous en dit, voici ma première proposition :

2015 – #1 Atelier d’écriture du 06-09 – 13-09-2015 minuit.

Assiette 06-09 - 13-09-2015

Si les mots vous inspirent, je vous laisse à votre imagination. 🙂 Aucune contrainte, poèmes, récits courts ou longs, imagés etc….
Il est clair que je participerai aussi, cela m’obligera 🙂
Je souhaitais que les personnes qui souhaitent mettre leur participation ne le fasse que dimanche prochain, ceci afin que nous puissions tous nous lire, moi y compris, tâche à laquelle j’ai souvent failli, et j’en suis vraiment désolée.

🙂 A très bientôt, et oui une surprise pour l’atelier, je le sais 🙂

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