Lorsque les cloches
Lorsque les cloches sonneront minuit,
Lorsque devant le feu qui s’éteint
Devant l’âtre les yeux dans le lointain
Pense que pour toi seul, un cœur vit.
Un cœur qui avait cessé d’aimer
Mais qui en voyant ton doux sourire
C’était remis à battre, à espérer
Ce petit cœur qui ne voulait plus vivre
Il ferait tout pour te donner le bonheur
En cette nuit de Noël, où tout n’est que joie
Il faut oublier, les peines, les soucis, les malheurs
Car ce petit cœur ne bat que pour toi.
Regarde le ciel, là-haut la lune luit
Elle ne brille que pour nos deux étoiles
Qui s’en iront à deux dissiper la nuit
Et faire naître le bonheur de leurs voiles.
Ton visage est aussi clair que ces astres
Car au fond de tes yeux, je lis l’amitié
Qui brillera dans nos âmes pour l’éternité.
© G. Oppenhuis années 1960-1970
"Les chiens ont des maîtres, les chats ont des serviteurs. "Dave Barry
"Petit à petit, les chats deviennent l’âme de la maison." Jean Cocteau
Filamots 
Bonsoir Filamots, tes mots me touchent toujours autant que c’est bon de revenir sur ton blog y lire.
J’aime beaucoup ce texte …. très beau! Bisous-soleil
Merci pour ton passage en ces lieux plus soft 😉
Comme quoi deux univers peuvent se côtoyer et aborder d’autres sujets bien différents.
Bisous-soleil aussi….là c’est la fin de la journée.
Bonsoir « Petite Fleur Bleue ».
Toujours aussi romantique?Tu as raison,ma Belle,seuls l’amour et l’amitié nous rendent heureux et ont,comme racine,toujours le verbe « aimer ».J’aime bien tes poèmes car je comprends tout et que je suis aussi romantique et sentimentale que toi.
Tendres pensées pour une personne qui est devenue naturellement,une amie.
Bisous d’Harmony.♥
Bonsoir Harmony,
Oui oui fleur bleue, même si elle est jaune ici sur le blog 🙂
Je suis restée une grande romantique. Des réminiscences du passé, et puis qu’importe, c’est si bon de se laisser aller à ces douceurs 🙂
Nous avons la Belgique en commun, et qui sait si un jour nous n’aurons pas le plaisir de nous rencontrer 🙂
Merci pour cette amitié virtuelle, si touchante.
Bisous amie de plume
Quand tu notes années 1960-1970, ça veut dire que tu as gardé les cahiers sur lesquels tu écrivais tes poèmes? Je suis impressionnée, je n’ai pas cet esprit de conservation. Peut-être le regretterais-je un jour…
Bonsoir Nathalie,
J’ai gardé un seul et unique carnet tout au long de ces années, mon seul lien avec le passé en-dehors de la cruauté 🙂
Il a été trimballé de déménagement en déménagement. Et là, il restera pour mon fils, et surtout ce blog que je lui dédie, et où il fera ce qu’il en voudra si un jour je devais partir.
J’ai d’autres poèmes plus actuels disséminés sur la toile, que j’essaie de rassembler aussi et qui sont plus récents, écrits dans des forums 🙂
Il en fera ce qu’il voudra. Mes écrits, il n’y a que ceux-là d’ailleurs, c’est une partie de moi. Mes carnets personnels de jeune fille, je les ai jetés à la poubelle, et je le regrette beaucoup.
Pour les années c’est donc oui dans l’à peu près, car j’ai plutôt commencer à écrire à l’adolescence, qu’à dix ans. 🙂
Tu avais toi aussi écrit des poèmes ? Faut pas regretter, tu continues dans le présent dans la création avec ton blog, c’est cela le plus important au niveau virtuel, après le réel bien entendu. 🙂 Je pense que nous nous comprenons.
Bonsoir Filamots,
On dirait Demoiselles ,
Hauts Perchées sur la Pierre ,
Attendant que l’Onde Sonne ,
Tout en Bronzes sur Peaux ,
Sous Rayons de Lumières .
NéO~
Oui, oui des belles demoiselles. J’ai eu la chance de trouver cette belle peinture comme illustration 🙂